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9 décembre 2018

Nos ancêtres charrons (1/2)

Si la majorité de nos ancêtres exerçait le métier de cultivateur, sous ses différentes formes[1], on trouve très peu d’artisans, ayant été charrons. 
A priori, cette profession qui rend des services indispensables à des multiples d’autres, ne semble pas être représentée à la hauteur qui aurait dû l’être parmi celles des PAUZAT et POUZAT recensés dans notre base généalogique[2]. Qu’en est-il vraiment ?

En quoi consiste le métier de charron.
Un charron est une personne spécialisée dans la construction et la réparation des véhicules à traction animale, notamment dans le cintrage et le cerclage des roues.

Ateliers de charrons et sculpture d’un charron à l’église de Heudicourt dans l’Eure.

De façon plus précise, citons :
« Á partir du moment où l'homme a utilisé la roue pour construire des véhicules, il y a eu des charrons. Ce métier existe probablement depuis plus de 4000 ans.
Charron vient tout droit du métier de charpentier puisque déjà dans le haut Moyen Âge, il faut maîtriser le travail et l’assemblage du bois pour bâtir châteaux et cathédrales. Parmi les différentes spécialisations est né le métier de charron qui s’est consacré à la fabrication des charrettes et autres moyens de roulage même si à la campagne, le métier présentait une polyvalence plus large.

Tout d’abord le charron s’occupait de l’outillage du jardinage et des champs et des bois. Il façonnait de nouveaux manches pour les bêches, fourches, les râteaux, les haches et les pioches. En morte-saison, il fabriquait et réparait les râteaux pour retourner le foin. Mais le gros de son travail consistait à construire les charrettes, tombereaux, surtout les voitures des paysans du village.

La fabrication de la charrette demandait une dextérité et un savoir-faire importants notamment pour la confection des roues qui constituait la partie la plus délicate du travail ; c’est à leur solidité et à leur longévité que le charron devait sa renommée. Leur réalisation reposait sur de longs mois d’apprentissage et faisait appel à des notions de physique, de géométrie, de dessin, plus une connaissance affirmée du bois et de son travail
».

L’atelier de charronnerie était indispensable à chaque 
village, au même titre que celui du forgeron ou du maréchal ferrant. En 1840, on estimait qu’en Lorraine il y avait environ un charron pour 300 habitants. Mais à partir du milieu du 20e siècle, ce métier devint obsolète.

Combien de nos ancêtres furent-ils charrons ?
À ce jour, on en recense que quatre dont trois le furent de père en fils en Guyenne, au nord-ouest de Périgueux. Le quatrième vivait en Auvergne au nord de Clermont-Ferrand. 



* vous pouvez visualiser la courte vidéo ci-dessous montrant un aperçu du métier de charron



- Jean PAUZAT (n°3537) né à Douchapt en 1827
- François PAUZAT (n°987), son fils, né à Douchapt en 1862
- Adolphe PAUZAT (n°4432), le petit-fils du premier, né à St-Méard-de-Drône en 1896
- Auguste POUZAT (n°3232) né à Varennes-sur-Morge (Auvergne) en 1902. Pour information, il sera charron au Cheix sur Morge en 1930, à Ennezat en 1931.

Remarque : S’il n’a pas été trouvé de charrons durant l’Ancien régime, ceci semble être dû au fait que le métier était rarement cité dans les actes paroissiaux, contrairement aux actes qui suivirent. On pourrait donc imaginer qu’il y aurait eu davantage de charrons portant notre patronyme.

Malgré ce handicap de notre recensement, le nombre d’individus trouvés semble apparemment faible. Mais si pour la même période (1800- 1950), l’on rapporte celui-ci au nombre d’individus recensés dans notre base, on trouve un ratio de 4/793, soit 1 charron pour environ 200 personnes, ce qui est du même ordre de grandeur que celui indiqué pour les villages lorrains. Nos ancêtres exercèrent donc ce métier au même titre que leurs concitoyens et sont bien représentatifs de la répartition de ce métier dans notre pays.




[1] Journalier, métayer, propriétaire, etc.
[2] A ce jour, on y dénombre 1935 individus de sexe masculin ayant porté notre patronyme et ayant vécu entre la fin du 17e siècle et celle du milieu du 20e.

13 septembre 2018

Une erreur d’écriture !

Nous avions évoqué, il y a quelque temps[1], l’existence de deux orthographes différentes de notre patronyme, celles en terminaisons AT et AC. C’est ainsi que cohabitent pour une même région, parfois le même village, les deux patronymes PAUZAT et PAUZAC. 

Dans ce contexte, la lecture des actes d’état civil de plusieurs individus d’une même famille, ayant vécu en partie dans le même village, nous donne l’occasion de découvrir cette situation de manière concrète et d’entrevoir les conséquences que celle-ci peut provoquer.

Que s’est-il passé ?
Dans la même commune de St-Yrieix-la-Perche, en Haute-Vienne, pendant une période assez courte (1842-1847), certains individus d’une même famille ont vu leur patronyme rédigé différemment dans leurs actes d’état civil, alors qu’eux-mêmes, quand cela fut possible, signèrent correctement ces derniers.
Il s’agit de Jean Baptiste PAUZAT (n°847) et de l’un de ses deux fils Jean Baptiste PAUZAT junior (n°849). Le père sera enregistré avec la terminaison ZAC lors de son mariage en 1842 et de son décès en 1847, tandis que son fils le sera uniquement à sa naissance, lui aussi en 1842.


Remarques :
- Le second enfant, Philippe Jean PAUZAT (n°1581), quoique né en 1846 dans le même village, donc durant cette période, sera enregistré correctement sur son acte de naissance.
- Cette erreur se répétera à l’identique pour d’autres individus du même village ayant le même patronyme.
- Aujourd’hui, il est difficile de deviner la raison de ces anomalies. On peut toutefois soupçonner que selon le fonctionnaire de la mairie qui rédige l’acte, cette erreur ait pu se produire ou non. Cette hypothèse se vérifie a priori dans certains actes, car rédigés avec la même écriture, mais pas dans tous. 

La demande de rectification :
Ce qui singularise cette situation est qu’une demande en rectification du nom de famille a été faite vers 1872, soit 30 ans plus tard, pour :
- D’une part, l’acte de mariage du père, Jean Baptiste PAUZAT sénior (n°847), son acte de décès en 1847 n’étant pas évoqué.
- D’autre part, l’acte de naissance de Jean Baptiste PAUZAT junior (n°849).
Cette demande ayant été acceptée, on peut constater dans ces deux actes la mention de rectification rédigée en marge gauche, comme suit :


Rappelons que la requête de rectification du nom de famille est prévue par la loi depuis 1826 : 
Que s’est-il donc passé entre 1842 et 1872 pour motiver cette demande de rectification ? 

Quelle en est la raison ?
Pour connaître le motif de cette rectification, il faudrait pouvoir consulter les archives judiciaires du tribunal de St-Yrieix-la-Perche. Mais, les archives départementales numérisées n’y donnant pas accès, il faudrait pour se faire, se rendre sur place ou sans doute aux AD de Limoges. Pour le moment, nous ne serons donc pas ce qui a motivé cette démarche, sauf si un lecteur bienveillant de ce blog, voisin de cette commune, s’y rend et nous fait part de sa découverte[2].

Lors de la demande de rectification en 1872, Jean Baptiste PAUZAT junior était confiseur dans la commune voisine de Paysac en Dordogne et son frère Philippe Jean, sans profession lors de son mariage en 1867, était propriétaire au village de l'Hépital à Angoisse en Dordogne. Plus tard, ce dernier revient à St-Yrieix-la-Perche comme fonctionnaire des Contributions Indirectes où il restera pendant sa retraite jusqu’à son décès en 1899.
C’est probablement l’un d’entre eux, sinon les deux, qui on fait la demande de rectification.

Dans le cas qui nous intéresse, cette erreur d’écriture est d’autant plus sensible qu’elle désigne spécifiquement un autre patronyme porté par d’autres habitants de cette même ville ou des villages et hameaux voisins, dont certains ont le même prénom !
Citons par exemple :
- Jean PAUZAC (n°837), journalier, qui a 25 ans en 1863 au moment de son mariage et qui vit au lieu “Pouyoulou du levant”.
- Son père Jean PAUZAC (n°865), cultivateur au village du Queyroix
- Jeanne PAUZAC (n°1103), née à St-Yrieix-la-Perche en 1840,
- son père François PAUZAC (n°1108), âgé de 25 ans à cette date, meunier au moulin du Puy.
- Marie PAUZAC (n°4928), née à St-Yrieix-la-Perche en 1840
- Son père Jean PAUZAC (n°4929), cultivateur, demeurant au lieu de Lascaux Lafarge. Etc.
Signalons que les individus PAUZAC cités ci-dessus[1], en remontant seulement de deux générations, ont tous pour ancêtres des PAUZAT. Au même titre que certains POUZAT[2], les PAUZAC sont donc ici des PAUZAT qui s’ignorent !


[1] Article du 12/03/2014, intitulé « Premier regard sur les PAUZAT du Périgord ».
[2] Dans une telle éventualité, merci d’avance.
[3] À l’exception des deux derniers, pour lesquels je manque d’information
[4] Voir l’article « Les POUZAT sont-ils des PAUZAT qui s'ignorent ?» du 01/03/2011

23 février 2018

Les PAUZAT portefaix à Marseille



Il est des professions, comme beaucoup d’autres, qui disparurent suite aux conséquences de ce que l’on nomme communément aujourd’hui le progrès. Hier, ce fut le cas des conducteurs de calèches, remplacés aujourd’hui par ceux des cars et des camions, demain par les véhicules autonomes. 
C’est ainsi qu’opportunément, la recherche généalogique de nos ancêtres nous permet de découvrir certains de ces métiers oubliés. Parmi ceux-ci, nous aborderons dans cet article celui de portefaix, métier exercé par plusieurs générations de PAUZAT habitant Marseille au cours de 19e siècle. 


Définition du métier de portefaix

Le dictionnaire nous indique qu’un portefaix est celui qui fait métier de porter des faix (lourd fardeau, charge pesante). Ce métier a existé dans tous les pays et les époques, mais celui de portefaix a une spécificité du fait de l’appartenance à une sorte de confrérie, une société construite en une structure corporative qui fixait l’organisation du travail, donnait droit à la garantie de l’emploi et à un salaire convenable, à des titres comme maître-portefaix, mais surtout qui imposait à ses membres le respect des valeurs morales, attitude opposée radicalement au comportement des autres manutentionnaires de l’époque, surnommés les crocheteurs[1]. Ajoutons que le droit d’exercer ce métier était limité en nombre et la transmission de la charge se faisait par proposition du portefaix lui-même, donc en général du père vers le fils. 
À titre de curiosité, citons aussi deux citations concernant les portefaix : 
« Les coups de poing que les portefaix se donnent pour se flatter seraient capables d’estropier des personnes délicates. (Malebr.) et la seconde d’Alfred de Musset : « Je comprends qu’une femme aime les portefaix, c’est un goût comme un autre, il est dans la nature. » 

Histoire de ce métier
On trouve des portefaix dans toute la France depuis le 13e siècle, regroupés sous le nom de « confrérie de Saint-Pierre ». Ils exercent leur métier dans les lieux où la quantité et la nature des produits à manipuler nécessitent une main-d’œuvre disponible et qualifiée.





À l’intérieur du pays, il y a des portefaix dans les marchés des villes, par exemple à Arras où : 
« la quantité de grains apportée chaque semaine représentait 5000 à 7000 hectolitres. Les portefaix avaient le monopole du transport des grains, de la charrette des vendeurs jusqu’aux entrepôts. » 
Citons aussi : 

« Le portefaix était un personnage essentiel du marché aux grains. Il devait pour exercer sa charge, obtenir l’approbation du Maire et des Échevins. Il joignait à sa demande un certificat de bonne vie et mœurs et la somme de 90 livres (en 1786). Il devait également être agréé bourgeois d’Arras, sa requête en réception lui en coûtant 12 livres. 
Vêtu d’une ample vareuse, libérant les mouvements, le portefaix était coiffé d’un chapeau caractéristique, très emboîtant, couvrant bien la nuque, appelé « coltin ». Un sac de jute placé sur le cou et les épaules achevait sa protection lorsqu’il transportait ses lourdes charges (les sacs de grains pesant de 80 à 100 kilos) » 



Sur le littoral maritime, on trouve des portefaix dans les grands ports, pour charger et décharger les marchandises venant par la mer. C’est ainsi que l’on trouve à Marseille, au Vieux Port, une corporation importante de portefaix exerçant ce travail. 
La profession de portefaix et surtout celle de maître-portefaix étaient autrefois très lucratives. Sous la Restauration et sous Louis Philippe, bon nombre de maîtres-portefaix réalisèrent des fortunes assez considérables. 
On en comprend vite la raison, quand on réalise que le portefaix était un intermédiaire incontournable. Outre le fait qu’il avait la parfaite connaissance de la qualité du produit manipulé, il assurait à son commanditaire le chargement ou le déchargement des marchandises des cales des navires vers l’entrepôt de ce dernier. En effet, les marchandises venaient en général de très loin, elles représentaient un investissement financier important, elles étaient souvent fragiles comme les tissus délicats, les épices, et une fois arrivées à bon port, il fallait surmonter les dernières difficultés : éviter les dégradations lors du déchargement, les pertes, les vols, surveiller les pesées, les taxes à payer, les formalités de douane, et finalement le convoyage vers les entrepôts. 
Citons ce qui se disait à cette époque sur les maîtres-portefaix marseillais :


En janvier 1880, un rapport de police signale l’existence de quatre maîtres et autant de portefaix parmi les notables de la ville.


Les Pauzat portefaix à Marseille

C’est donc à Marseille et seulement dans cette ville que l’on trouve des portefaix portant notre patronyme. Il s’agit de la descendance de Henri PAUZAT (n°1361) qui quitta sa terre natale du Languedoc pour s’établir à Marseille vers 1769, comme marin pêcheur puis patron de ponton. 
C’est lui qui partira à Paris pour participer, avec l’un de ses cinq fils François Barthélemy (1384), à la prise du château des Tuileries le 10/08/1792. Malheureusement, il rentrera seul, ce dernier s’étant fait tuer[2]. Trois autres de ses enfants disparurent au cours de conflits en Martinique ou aux frontières, seul le dernier Antoine Henri PAUZAT, (n°1352), né en 1781, deviendra le premier portefaix de la famille. 


C’est lui qui transmettra sa charge à sept de ses enfants et qui est à l’origine de cette lignée de portefaix. Cependant, un seul d’entre eux aura une descendance qui perpétuera ce métier (en fait deux fils, si l’on prend en compte Marius Antoine qui restera à la postérité comme peintre paysagiste : voir la m.a.j. du 19-03-2018, en fin d’article). Finalement, il n’y aura eu chez les PAUZAT que trois générations de portefaix, entre les années 1800 et 1870 environ. 
En août 1870, un PAUZAT maître-portefaix est candidat aux élections municipales de Marseille. Il semblerait, malgré l’imprécision du prénom cité qu’il s’agirait de Joseph Henri PAUZAT (n°1455) né en 1806 (voir son portrait ci-dessous à gauche). Le second portrait, à sa droite, est celui de son fils Antoine Marius Henri (n°1457) né en 1831, lui aussi portefaix à Marseille, avec le titre de peseur juré.
Il existe aussi un François Louis PAUZAT (n°1917), né en 1855,  qui est cité comme portefaix, habitant 11 quai du Canal (voir ci-dessus à droite), qui doit vendre une parcelle de terrain situé dans la commune de Carry-le-Rouet en 1913, dans le cadre d’une expropriation pour la création d’une ligne de chemin de fer entre Miramas et Estaque, dans les Bouches-du-Rhône. Recensé comme employé et commerçant, est-il vraiment portefaix ou a-t-il hérité de son père cette parcelle de terre de la commune de Carry-le-Rouet ? 


La seconde moitié du 19e siècle verra le début de la disparition de la marine à voile mais aussi le déclin de la société des portefaix marseillais, ces derniers n’ayant pas su s’adapter aux évolutions générées par la révolution industrielle ni à l’émergence d’un autre corporatisme, celui des dockers. 
Citons : 


Mise-à-jour du 19-03-2018
Marius Antoine Jean PAUZAT (n°70), futur peintre reconnu, a été portefaix dans sa jeunesse, tel qu’il est mentionné sur l’acte de naissance de sa fille Honorine Marthe (n°1464) en 1861, il a alors 29 ans.




[1] Manutentionnaires qui portaient des fardeaux en s'aidant d'un crochet
[2] Voir l’article du 01/08/2011 : « Le 10 août 1792 à Paris, deux PAUZAT à l’assaut des Tuileries »

12 janvier 2018

Vœux « généalogiques »

En cette nouvelle année, la huitième de ce blog, souhaitons-nous la réussite de nos projets et pour ce qui me concerne, modestement, celui de maintenir l’existence de ce blog, fenêtre ouverte sur le progrès de nos recherches généalogiques.

Ainsi, celles-ci m’entraînent, tel un jeu, à la découverte de nos ancêtres, mais aussi, au-devant des faits historiques qui ont ponctué leur existence. La connaissance de ces derniers est un enrichissement personnel que je souhaite vous faire partager. Je profite donc de ces vœux pour vous faire part de l’un d’entre eux.


L’ordonnance de Villers-Cotterêts en 1539, sous le règne de François 1er, nous concerne plus particulièrement. C’est en application des articles 110 et 111 de cette ordonnance qu’est rendue obligatoire la rédaction des actes de l'administration et de la justice en français et non plus en latin, mais aussi des autres langues régionales, dont l’occitan parlé par la moitié sud du pays. Cette obligation s’étendra à l’Église dont les curés durent assurer, à partir de cette date, la tenue des registres des baptêmes, des mariages et des sépultures.

C’est la mise en ligne sur internet des actes rédigés depuis le début du 17e siècle qui nous permet aujourd’hui une recherche quasi exhaustive de nos ancêtres. Cependant, nous pouvons regretter que cette ordonnance royale ne fût pas promulguée quelques siècles plus tôt. En effet, si cela avait été le cas, nous aurions, aujourd’hui, la possibilité de connaître le lieu et la date où fit son apparition le surnom[1] PAUSAT et d’en identifier le porteur.

L’histoire de notre pays a ainsi laissé dans l’ombre, pendant plusieurs siècles, la part originelle de notre généalogie. Celle-ci ressemble donc à un arbre sur lequel nous représentons les dernières pousses, mais dont les racines restent invisibles. Mais quoi de plus naturel.



[1] Vers les 11/12e siècle, la population ayant augmenté de façon significative, le nom de baptême ne suffit plus pour identifier un individu parmi tous ceux qui portaient le même. De ce fait, le surnom s’imposa progressivement pour faire disparaître ces redondances. Les articles des 29/09/2011 et 15/07/2011 de ce blog traitent de ce sujet, pour les sélectionner choisir le thème « prénoms et surnoms ».