Cette affaire remontant à 1825/1826 nous apprend que le dénommé PAUZAT devait négocier pour le premier, la vente de « 20 surons[1] de cochenille[2] » envoyés du Mexique sur les navires Antigone et Anacréon.
la cochenille , mexicaine, donne un super colorant rouge, le carmin.
Notre Pauzat se trouve alors assigné en justice pour « paiement d’une somme de 69,150 fr., pour prix des cochenilles vendues », car entre temps, l’acheteur potentiel avait fait faillite.
D’autre part, remarquons que l’appellation Zuniga fait sans doute référence à la ville de Navarre située en Espagne à 70km environ de Pampelune. Si ceci est exact, cette personne ou l’un de ses ancêtres devait donc venir de cette région, avant de s’implanter à Bordeaux.
Ceci peut aussi signifier, si ce n’est son ancêtre, que ce dernier a fait lui-même, durant sa jeunesse, un aller-retour entre ces deux villes.
Il faut aussi rapprocher cette information de celle d’un jeune Pierre PAUZAT, habitant Bordeaux, originaire de Gurmençon (Pyrénées atlantiques), partant le 16 mars1826 à Londres, faire son instruction commerciale.
Il s’agit certainement du fils ou d’un parent proche du précédent.
Espérons que nos prochaines recherches nous donneront des informations plus détaillées qui valideront ou non cette hypothèse.
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